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Deux nouveaux candidats pour Centre Gauche-PCS, porteurs d'expérience et d'engagement 

Après avoir annoncé la candidature au National de 3 jeunes candidats aux profils variés (Maud Theler, assistante sociale, Michael Siggen, politologue, et Jonathan Darbellay, étudiant HEC), Centre Gauche-PCS annonce à leurs côtés deux nouvelles candidatures, avec Robert Métrailler et Raymond Borgeat, respectivement ancien et actuel présidents du parti, tous deux élus au Parlement valaisan. CG-PCS rappelle son leitmotiv : "l’humain au centre, le coeur à gauche". Lors des Fédérales 2015, il défendra ses propositions notamment en matière de vivre-ensemble et de formation. 

RobertMetraillerRobert Métrailler, 55 ans, de Sierre, secrétaire central au syndicat transfair, député-suppléant, conseiller général, ancien président du PCS VR, président du groupe de travail européen télécom (EUROFEDOP-CESI), 079 310 47 22. 

" Le monde politique n’a pas besoin de pyromanes qui attisent les antagonismes dans un but purement électoraliste. Avec Centre Gauche-PCS, je souhaite réfléchir à des solutions équilibrées et solidaires pour relever les défis qui se posent au niveau démographique, social, de l’emploi et de nos relations avec nos voisins européens. Par ma profession et mes activités associatives liées à ces thématiques, je peux apporter mon expérience du terrain au service de la population. 

Mes préoccupations de campagne sont l’évolution démographique et ses conséquences, l’emploi et le service public. Je crois par exemple à la formation et à un salaire décent pour tous (50+, étrangers, etc.), et m’engage pour un service public de qualité pour tous également (zones périphériques)." 

RaymondBorgeatRaymond Borgeat, 50 ans, de Grimisuat, enseignant et géomètre, député, président de Centre Gauche-PCS, 078 853 74 36. 

" La Suisse, et le succès qui est le sien aujourd’hui, se sont construits sur les valeurs que défend Centre Gauche-PCS. Ouverture, innovation et diversification des activités économiques, développement durable, consensus, équilibre entre ses intérêts et ceux de ses voisins proches. 

Au Grand Conseil, je défends toujours la voie du bon sens, de l’équilibre, du pragmatisme, sans électoralisme. J’en ferai autant à Berne, et mettrai toutes mes compétences à défendre un aménagement du territoire et une politique énergétique pérennes.