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Collective

Osons l’intelligence collective !

Plusieurs défis sont à relever par notre société tels le changement climatique, le vieillissement de la population ou les conséquences de la numérisation sur le monde du travail.

Nous devons y faire face. Mais qui est ce nous ?

Cela pourrait être nous, chacun pour soi de manière isolée ou chacun défendant ses intérêts particuliers dans son coin, en exclusion, et cela conduira à d’interminables luttes stériles. Ou alors, c’est nous, tous ensemble, dans une volonté d’inclusion, en utilisant l’intelligence collective, en faisant converger connaissances et idées pour avancer et trouver des solutions durables à des problèmes complexes.

Faire face au changement climatique, au vieillissement de la population ou aux conséquences de la numérisation sur le monde du travail est un défi complexe ! Pour le relever, Centre Gauche-PCS ose l’intelligence collective.  Car si chacun est trop centré sur ses propres solutions sectorielles ou partisanes, nous arriverons dans une impasse, si chacun veut aller trop vite vers son but, nous n’arriverons pas entiers. « Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin », dit un proverbe africain.

Centre Gauche-PCS prône une démarche de recherche d’équilibres dans un esprit d’ouverture. Il est le rouage qui permet l’émergence et la marche de cette intelligence collective. Ne devrait-il pas occuper une place centrale dans le paysage politique valaisan et suisse ? Osez soutenir les candidat-e-s porteur-se-s de cette vision !

Chat Annick

Et oui, le bien-être se mesure !

De nos jours, la description de nos sociétés se fait au travers de nombreux (trop ?) systèmes d’indicateurs statistiques. Parmi ces systèmes, il devrait y avoir en un qui permette de savoir comment va la population d'un pays. Car cette question guide et sous-tend toute action politique qui se veut responsable. 

Depuis le début des années nonante, le produit intérieur brut (PIB) s’est imposé comme l’indicateur pour mesurer le niveau de vie d’un pays. Il représente la valeur totale de la « production de richesse » effectuée par les ménages, les entreprises et les administrations publiques résidant à l'intérieur du pays. La variation du PIB d'une période à l'autre est censée mesurer le fameux taux de croissance si cher à l’économie. Cette variation a ainsi été érigée, dans une malheureuse logique d’accroissement infini de la production, en but ultime de nos systèmes économiques et sociaux.

Mais le PIB a ses limites, il n'est pas construit comme un indicateur du bien-être. Une étude a montré que s’il existe un lien entre le niveau de PIB par habitant et le bien-être subjectif, ce lien est limité et insuffisant. 

La mesure du bien-être d’un pays est alors ailleurs… L’Office Fédéral de la Statistique, pour qui « le bien-être signifie que la population dispose de moyens suffisants pour satisfaire ses besoins, organiser sa vie de manière autonome, utiliser et développer ses capacités, et poursuivre ses objectifs » propose un système d’indicateurs qui repose sur la situation matérielle, les conditions de logement, le travail et les loisirs, la formation, la santé, les relations sociales, la participation politique, la sécurité physique, la qualité de l’environnement et le ressenti personnel. Bien loin de ne comprendre uniquement la course à la production de biens...  

Une politique sérieuse doit se pencher sur tous ces éléments complexes, ce que fait Centre Gauche-PCS.

Annick Clerc BerodLa responsabilité de l’action politique:

Se porter candidat-e à une élection, quelle qu’elle soit (communale, cantonale ou nationale) est une responsabilité. Il s’agit, pour chaque candidat-e de s’engager pour défendre des valeurs et des idées auxquelles il-elle croit, les valeurs et les idées auxquelles le parti auquel il-elle appartient croit.

Je suis ainsi candidate pour Centre Gauche-PCS, car ce parti défend des idées de bien vivre ensemble, d’ouverture et de respect, en mettant l’humain au centre avec le cœur à gauche, comme l’indique si joliment son slogan. Ainsi, il prône une croissance du bien-être pour toutes et tous et non une croissance financière au bénéfice d’une minorité ; il milite pour introduire des normes sociales et environnementales dans la production et dans l’importation de l’énergie ; il adopte une vision globale et pionnière de la politique en matière de mobilité qui doit assurer une couverture complète du territoire, tout en respectant la qualité de vie et l’environnement.

Mais j’ai surtout accepté de défendre les idées et valeurs de Centre Gauche-PCS parce que, face à ces défis que représentent le partage éthique des richesses produites dans notre pays, le remplacement des énergies fossiles par les énergies renouvelables ou encore le développement d’une mobilité propre efficace, ce parti reconnait la complexité des problèmes, ne cherche pas à vendre des solutions toutes faites, et c’est bien là la responsabilité politique telle que je la comprends. Il défend une démarche de recherche d’équilibres entre des intérêts multiples afin de pouvoir trouver des solutions durables qui bénéficient à un maximum de personnes. Des solutions qui incluent toutes les habitantes et tous les habitants. Qui profitent au bien-être de toutes et tous.

Car c’est bien de cela dont il s’agit dans la responsabilité et l’action politiques, faire en sorte que chacun et chacune dans notre société puisse jouir d’une bonne qualité de vie et se sentir bien. C’est peut-être bateau, mais c’est le navire Centre Gauche-PCS, et c’est un beau navire.

Annick Clerc Bérod – candidate Centre Gauche-PCS au Conseil national

ACB 1Lutter contre les inégalités, il y a du boulot!

Cet été, l’Office Fédéral de la Statistique a publié son 3ème rapport social statistique. Ce rapport a pour objectif « de favoriser une meilleure compréhension des conditions dans lesquelles se réalisent et se développent les politiques sociales suisses. » 

Les politiques sociales reposent sur la solidarité et la lutte contre les inégalités. Et ce rapport est une mine d’or de renseignements. On y apprend par exemple que, malheureusement,

  • 13% de la population vit dans un ménage dont les membres disent avoir du mal à joindre les 2 bouts ;
  • la part des 15-24 ans au chômage est passée de 5% en 1996 à 8% en 2018 ;  
  • durant la même période, le chômage de longue durée, qui touche majoritairement les 50-64 ans, a fortement augmenté ;
  • la pauvreté touche 8% de la population, dont la moitié malgré l’exercice d’une activité professionnelle. 

L’on y apprend aussi que le stress et la crainte de perdre son travail sont parmi les situations les plus associées à une dégradation de l’état de santé, et qu’une moins bonne santé est elle-même un facteur pouvant contribuer à la fragilisation de la situation sociale. Il est relevé que la détresse psychologique élevée est plus fréquente chez les personnes avec un bas niveau de formation, que les personnes sans formation post-obligatoire doivent plus fréquemment renoncer à des soins car ils n’arrivent pas à les payer.

Le rapport confirme ainsi l’existence d’une partie de la population qui est particulièrement vulnérable : les ménages monoparentaux, les personnes divorcées, les enfants, les personnes sans formation post-obligatoire ainsi que les personnes d’origine étrangère. 

Dans un moment où les enjeux dans notre société sont de taille (avec notamment le vieillissement de la population et la mutation sur le marché du travail), il y a lieu de trouver les moyens de ne pas les fragiliser encore plus. Centre Gauche-PCS s’y engage.

Via l’introduction d’un revenu de base inconditionnel par exemple ?